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Au fil 2 Lo
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  • Bienvenue sur mon blog où vous pourrez suivre mon aventure australienne Vous trouverez aussi les photos de mes voyage au Maroc et en Turquie que j’ai fait juste avant de partir et plus tard celles de la Thaïlande ainsi que le récit de ces voyages.
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14 octobre 2014

Party on the roof 03/10

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Bus direction le centre de Sydney. L’occasion de me rendre compte qu’ici, ils changent de chauffeur en plein milieu du trajet. Le chauffeur s’arrête à un arrêt, éteint tout, descend… heu il se passe quoi là ? Même pas le temps de réfléchir à comment poser la question en anglais, qu’un autre chauffeur monte et c’est reparti. 

 

J’arrive donc à ma soirée qui a lieu sur un toit ! Vue magnifique encore une fois, un lieu pour une soirée comme dans les films. Chaque journée est un rêve éveillé, un bout de paradis sur terre. Je pourrai utiliser encore bien des métaphores niaises mais il n’y a tout simplement pas de mot pour décrire ce que je vis actuellement. J’ai envie de dire à tout le monde de venir ici. Je ne parle pas d’y vivre car c’est plus compliqué, pas à la porter de tout le monde et implique beaucoup de chose mais venir rien que pour un an, visiter, faire la fête, profiter tout en améliorant son anglais et en gagnant de l’argent. Je vous dis, c’est le  paradis !

 

Cette soirée est l’occasion de rencontrer des nouvelles têtes. Surtout des français mais aussi quelques étrangers. Je gouterai aussi le goon. Le goon késaka ?  C’est la boisson : des backpackers, des adolescents australiens, et des aborigènes. C’est vendu comme du vin mais on ne peut pas dignement lui accorder ce nom. Pour la petite histoire, le mot Goon serait la traduction du mot « oreiller » en aborigène, la légende voulant qu’après avoir bu tout le Goon, ils gonflent la poche du cubis pour en faire un oreiller d’appoint. Et pourquoi, cela ne mérite-t-il pas le nom de vin ? Tout simplement car c’est vraiment mais alors vraiment très mauvais ! Et que l’on retrouve dans la composition de la farine, du poisson et autres choses que l’on préfère oublier. Mais cette boisson reste populaire tout simplement car elle n’est vraiment pas cher et que l’alcool ici c’est comme tout le reste, horriblement cher. Bref, j’ai testé le goon. J’ai réussi à boire mon verre en entier mais si je suis assez riche, j’éviterai de recommencer.

 

Ensuite, direction le Marquee, une boite située vers Darling Harbour. La soirée sur le toit juste avant ayant été organisée par un promoteur de la boite, il nous a inscrit sur une liste pour que l’on entre gratuitement (le bon plan est donc de connaitre des promoteurs ici) A l’intérieur, une salle avec de la musique de boite qui tourne un peu en boucle. Musique commerciale. C’est sympa mais pas trop longtemps. Il y a aussi un petit espace dehors pour les fumeurs et apparemment, il y a d’autres salles auxquelles on ne peut pas accéder. Je n’ai pas vérifié moi-même alors je ne peux pas confirmer. Par contre, ce que je peux dire, c’est qu’il n’y a pas de vestiaire et c’est apparemment le cas dans toutes les boites à Sydney. Pas très pratique quand on habite loin et que du coup on ne peut pas repasser chez soit avant de sortir le soir après avoir passé la journée en ville.

 

Je prends le taxi pour accompagner un ami qui a oublié sa veste ce soir là et me rend compte que c’est vraiment très cher : deux dollars la minute environ. Mes pieds et les transports en commun seront mes meilleurs amis cette année. Heureusement, il y a beaucoup de trains et surtout de bus la nuit ici. 

Retour au Marquee : il n’est que 3h mais la boite est déjà fermée. Je savais que les australiens n’étaient pas des couches tard mais je ne comprends quand même vraiment pas le concept. Pas de vestiaire, ils ferment tôt et servent donc moins de verres (qui sont par ailleurs horriblement cher aussi), ils gagnent comment leur argent ces gens là ?

Il y  a un casino ouvert juste à côté donc nous allons y faire un tour juste histoire de regarder. Puis direction KFC en attendant notre premier train car nous n’avons plus de batterie sur nos téléphones pour chercher un bus et arriver à la maison à 7h du matin, pile à temps pour commencer la journée de travail.  

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